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L’ancien village Phuoc Tich – gagner la vie par l’éducation
 Le vieux village Phuoc Tich (Phong Hoa, Phong Dien, Thien Thien Hue) possède non seulement les maisons à colonnes troquées, la céramique connue mais est encore une communauté studieuse.
Le meilleur village d’études de l’ancienne capitale
Il est rare qu’existe un tel village où on dresse un temple de Kongfuzi en tête pour demander aux jeunes de bien s’instruire. A chaque fête, les villageois y arrivent afin d’exercer les rituels de culte traditionnels.
Même si personne ne trouvait autrefois dans la liste de réussite des concours des lettrés, Phuoc Tich est toujours connu comme un lieu qui abritre un grand village éducatif de l’ancienne capitale. Les histoires racontent qu’il existait si grand nombre des bacheliers et des licenciés qu’on ne puisse pas tous recevoir et célébrer. 
Dans les anciens récits, de 1890, 11 hommes ont uni en érigant l’hameau Hoi (Union) puis éduquaient si bien les enfants qu’on a alors rebaptisé le village en Hoc (Education). On recense plus de 20 bacheliers , licenciés qui auraient puis occupé d’importantes positions dans la carrière de mandarin ou dans l’académie. Cette réputation a également été relatée dans l’écrit de la biographie de l’hôte dans les sentences parallèles, panneaux traversaux, meubles du foyer et même dans la construction du temple de Kongfuzi .
Mr. Hoang Tan Minh, dirigeant du village confie : l’esprit studieux est notre valeur traditionnelle de l’autrefois jusqu’à maintenant. La population atteind 327 personnes issues de 117 foyers , sont majoritairement bien éduquées et trouvent les postes stables.
L’origine de 30 doctorats
Situé à côté de la rivière O Lau alluviée toute l’année, le village ne possède pourtant aucune parcelle de rizières. Les habitants exercent principalement les métiers artisanaux, en particulier la céramique. Après le déclin de ce dernier, les parents orientent leurs enfants vers la carrières éducatives. Dans les maisons, on collecte beaucoup de livres, les peintres, les sentences parallèles, panneaux traversaux…
Madame Le Thi Kieu, une villageoise explique : « les enfants peuvent à la fois aider les parents dans les tâches ménagères et étudient sérieusement. Nos trois enfants sont sortis de l’écoles et partent travailler au loin »
D’après monsieur Le Trong Dao, chef de l’organisation de la promotion d’éducation nous informe qu’il existe chaque année 100% élèves réussissent au baccalauréat, 80 % admis au concours d’entrée universitaire. La plupart des jeunes diplômés acquièrent du travail à la sortie de l’école. Ils sont notre fierté et nous essaions toujours d’encourager les jeunes à s’impliquer dans les cursus en offrant les cadeaux, bourses, surtout les élèves en difficulté ou les excellents.